L’AMBRE
L’ambre
L’ambre et les perles, tout particulièrement, ont attiré l’attention des hommes par la beauté, la rareté et la durabilité de plusieurs substances naturelles ; et sont devenues les sujets de toute une culture de l’ornementation. L’ambre est la sève fossilisée d’arbres disparus qui poussaient dans des forêts tempérées et subtropicales au cours de la période éocène, il y a quarante à soixante millions d’années.
A l’âge de bronze, dans la Baltique, le commerce de l’étain et de cuivre (utilisés pour la fabrication d’un alliage de bronze) se développe simultanément avec le commerce transcontinental de l’ambre. A partir de 1600 avant J.C. environ, l’ambre et l’étain sont des marchandises commercialisées vers le Sud, en échange d’armes de bronze et différents outils manufacturés provenant des cultures méditerranéennes plus sophistiquées
On a considéré, pendant les derniers siècles, que la source de l’ambre était la résine d’un pin ou d’un conifère disparu. Des études plus récentes ont cependant suggéré une espèce d’aganthis la gomme du kauri à grandes feuilles de Nouvelle-Zélande est de l’aganthis (australis) genre que l’on trouve dans beaucoup de régions chaudes du monde. Quarante millions d’années auparavant, l’âge attribué à la majeure partie de l’ambre de la Baltique, le climat de cette région était subtropical. Aujourd’hui, le climat en est tempéré et les forêts d’aganthis ont disparu depuis longtemps. La résine d’ambre opaque se forme l’intérieur des arbres pour soigner fentes et craquelures. Il y a eu des discussions sur la relation entre le flot de résine et son opacité Il est difficile de déterminer la présence ou l’absence d’acide succinique pour différencier l’ambre véritable des objets qui ressemblent à l’ambre.
L’ambre de la Baltique, appelé aussi succinite, contient de 3/100 à 8/100 d’acide succinique. Un manque d’acide succinique indique, d’ordinaire, une origine autre que la période de formation baltique.
A part la Baltique, succinite a été trouvée en petites quantités dans plusieurs autres lieux, dont l’Angleterre et la Thaïlande. Les ambres de Sicile (simetite) , de Roumanie (roumanite) et de Birmanie (burmite) différent de celui de la Baltique, car ils ont peu ou pas d’acide succinique . En plus, la roumanite et la burmite snt plus jeune que la siccinite et se sont formées pendant le miocène, il y a dix à vingt-cinq million d’années
Le copal, l’ambroïde et la bakélite sont des substances fréquemment confondues avec l’ambre. Le copal, résine naturelle, existe à l’état de demi – fossile « véritable copal ») et à l’état de résine prélevée directement sur les arbres vivants (« copal brut »). On croit que, jadis, le copal était employé pour faire des perles. Cependant, la plupart des perles dites en copal sont en fait d’ambre ou de plastique.
L’ambre… j’adore !!!
Merci pour toutes ces informations sur ce sujet car c’est très intéressant à savoir et instructif.
Je vais aller voir les nouveautés sur la boutique, si nouveautés il y a bien sûr 😉
Bonne soirée
Merci Audrey ça m’encourage beaucoup, je te remercie de tout cœur Il y a beaucoup de nouveautés sur le site
Bonne soirée
Déba
J’ai été voir ça l’autre jour. Tu as ramené de magnifiques choses.
Contente que ça t’encourage 😉
Bonne continuation, je reviendrai te voir.
Gros bouyoux
Audrey.
Bonjour, j’ai un grand collier qui semble être en ambre et je voudrais savoir ce que c’est et ce que connaitre sa valeur marchande.
Il n’a pas de fermoir. Quand je l’enfile, il descend jusqu’à mon plexus. Il est fait de grosses perles ovales alternant une jaune mat et une noire. Au bout de ce collier pend un gros gland dont la partie du bas qui se dévisse est percée de trous. On m’a parlé d’un collier porte criquet ou diffuseur de parfum. Est ce que quelqu’un meut me renseigner, je n’ai rien trouvé sur le net. Merci.